L’ACPI est heureuse de lancer son tout premier

SYMPOSIUM VIRTUEL

Pédagogie et Rétention au SECONDAIRE 

Courez la chance de gagner votre participation

En moins d’une journée, l’ACPI rassemble huit (8) experts de l’immersion française ainsi qu’une panoplie d’organisations francophones et francophiles canadiennes pour offrir des outils concrets aux professionnels de l’immersion œuvrant au niveau secondaire. 

S’adressant principalement aux professionnels des niveaux 9e à la 12e année, cette journée a pour objectifs :  

  • Permettre aux enseignants d’obtenir des outils, trucs et astuces pour assurer le transfert de langue dans l’enseignement des matières;
     
  • Faire connaître aux professionnels de l’immersion les organismes et organisations pouvant encourager et supporter leurs élèves afin qu’il puissent poursuivre des études post-secondaires en français ou encore faire le choix d’une profession bilingue.  

Inscriptions ici! 

PRIX
Devenez membre dès aujourd’hui pour profiter des rabais offerts exclusivement aux membres :

  • Prix régulier : 200 $
  • Prix pour les membres A : 160 $
  • Prix pour les membres A+ : 140 $

Programmation

Les ateliers offerts dans le cadre du Symposium virtuel de l’ACPI seront offerts en différé jusqu’au 30 juin 2023.

Heures

Éléments de la programmation

11 h
(Heure de l'Est)

MOT DE BIENVENUE 

Accueil des participants 
Explication du déroulement de la journée

11 h 05
(Heure de l'Est) 

BLOC D’ATELIER NO. 1  | LES MATIÈRES ET LA PÉDAGOGIE SUR LE TERRAIN 


MOTS CLÉS : Transfert de littératie, stratégies gagnantes pour intégrer l’acquisition langagière, littératie dans les matières

Karla Culligan
Nouveau-Brunswick

Développement du vocabulaire et utilisation de questions ouvertes pour favoriser la communication orale en mathématiques en immersion française au niveau secondaire.  

Les programmes de mathématiques partout au Canada soulignent l’importance de la capacité des élèves à communiquer leur compréhension conceptuelle. En effet, le Conseil national des professeurs de mathématiques (NCTM) identifie la communication comme l’un de ses standards fondamentaux pour les mathématiques scolaires. Par ailleurs, lorsqu’il s’agit de l’apprentissage d’une langue seconde, il est essentiel de disposer de nombreuses possibilités de communication orale et surtout d’interaction orale. Donc, les professeurs de mathématiques en immersion française ont un double intérêt à soutenir la communication orale des élèves en salle de classe, car la communication orale est importante non seulement pour approfondir la compréhension des concepts mathématiques, mais aussi pour un apprentissage efficace de la langue seconde. C’est pourquoi, dans cet atelier, nous examinerons deux stratégies gagnantes pour favoriser la communication orale dans la classe de mathématiques en immersion : le développement du vocabulaire et l’utilisation de questions ouvertes. Par le biais d’activités et de problèmes amusants, pratiques et intéressants sur le plan mathématique et linguistique, nous réfléchirons à la manière d’appliquer efficacement ces stratégies, ancrées dans la recherche, en salle de classe. Ces activités et problèmes sont adaptables à différents niveaux, mais nous porterons une attention particulière à la manière dont ils pourraient fonctionner au niveau secondaire, où la communication orale (en particulier l’interaction orale) est souvent identifiée comme étant plus difficile à encourager dans la classe de mathématiques. Les participants quitteront cette session avec un enthousiasme certain pour les mathématiques et avec des activités pratiques à ramener dans leurs classes. 

Karla Culligan est professeure adjointe à l'Institut de recherche en langues secondes du Canada (IRL2C) à la Faculté d'éducation de l'Université du Nouveau-Brunswick. Elle fait de la recherche et enseigne dans les domaines du bi/multilinguisme, de la formation des enseignants, de l'évaluation et de l'enseignement des mathématiques.

Naomie Fortier-Frecon
Saskatchewan

L’enseignement des perspectives autochtones dans un cours de sciences humaines en immersion française 

Comment arrive-t-on à enseigner à la fois la langue française et les thèmes reliés à la réconciliation dans un cours de sciences humaines ? Cette question m’habite depuis le début de ma carrière d’enseignante. L’intégration des perspectives autochtones tel que demandé dans les appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation du Canada dans un cours enseigné en français permet aux élèves de développer une meilleure compréhension des enjeux reliés à la justice sociale et à la réconciliation. Cependant, dans un contexte où le français est la langue seconde/additionnelle de l'élève, la présence d'une incompréhension au niveau linguistique peut avoir une incidence sur la compréhension des thèmes enseignés ce qui peut devenir un défi supplémentaire pour l'enseignant d'immersion française. L’approche multidisciplinaire pourrait être une piste de solution pour favoriser l’apprentissage de la langue française dans un cours de sciences humaines. Le but de cet atelier est de présenter un projet éducatif que j’ai réalisé avec des élèves du secondaire (9e & 12e année) dans une école d’immersion française en Saskatchewan. Cette expérience m’a permis de soutenir l’apprentissage d’attitudes qui encouragent le changement social au niveau des enjeux reliés à la culture et aux traditions autochtones au Canada tout en favorisant le développement de la langue seconde/additionnelle de l’élève. 

Naomie Fortier-Frecon travaillé comme enseignante de sciences humaines dans le programme d’immersion française ainsi qu’à titre de conseillère des programmes d’études au ministère de l’Éducation de la Saskatchewan au cours des quinze dernières années. Détentrice d’un baccalauréat en histoire ainsi que d’une maîtrise en enseignement de l’histoire, elle s’intéresse au développement de stratégies pédagogiques qui encouragent le développement langagier ainsi qu’une meilleure compréhension des enjeux reliés à la justice sociale et à la réconciliation dans le cadre d’un cours de sciences humaines.

Dr. Lace Marie Brogden
Nouvelle-Écosse

L’enseignement des sciences humaines : approches esthétiques et affectives Sciences humaines 

Quelle couleur vous fait penser sciences humaines ? Rouge… couleur de votre duo-tang de sciences humaines en 3e année ? Brun… pour représenter de vieux livres jamais trop lus? Bleu… couleur de l’océan?  
 
Inspirée de la musique et des arts visuels, cette session proposera des réflexions au sujet de l’enseignement « vivant » des sciences humaines en immersion. Seront partagées quelques idées concrètes pour inspirer un enseignement des sciences humaines qui vise à célébrer l’apprentissage en français tout en se servant d’une thématique esthétique.  
 
On y mettra également un accent particulier sur des projets d’apprentissage qui valorisent l’enseignement des Traités et qui nous incitent à garder au premier plan le besoin de donner suite aux Appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. 

Lace Marie Brogden, PhD, est professeure titulaire et doyenne de la Faculté d’éducation à St. Francis Xavier University en Nouvelle-Écosse. Ayant débuté sa vie professionnelle comme enseignante en immersion française à Regina, elle a travaillé pendant de nombreuses années au sein de l’équipe du Programme du Baccalauréat en éducation française à l’Université de Regina. Ses recherches actuelles portent sur la théorie féministe, sur les pédagogies en mouvement et sur l’enseignement des Traités en français. Originaire des prairies, elle est mère, jardinière et parfois poète.

Shauna Nero
Colombie-Britannique

Créons des lecteur·rice·s et écrivain·e·s autonomes: le cercle littéraire 

Les cercles littéraires et l'exploration des romans en groupes permettent aux élèves de développer chacune des habiletés langagières en collaborant avec les autres membres de leur équipe d'apprentissage, surtout leurs compétences orales. Au niveau secondaire, à partir des activités guidées, les cercles littéraires assurent le transfert graduel de la responsabilité pour que les élèves deviennent des apprenant·e·s et membres de groupes autonomes. À travers l'étude des textes (romans, romans graphiques, articles, nouvelles etc.) au choix du groupe, les élèves développent une compréhension du texte et communiquent leurs idées à l'écrit et à l'oral avec les autres membres de leur groupe.  
 
En mettant en contexte les structures langagières apprises en cours, les élèves partagent leurs réactions et apprentissages dans un blogue afin de développer leur compétence de la production écrite pour un auditoire authentique de lecteur·rice·s. Cette session a pour but d'utiliser les cercles littéraires comme pratique pédagogique qui développe l'écrit chez les élèves en s'appuyant sur les autres habiletés langagières. Venez apprendre des stratégies et idées pour mettre les cercles littéraires en pratique dans vos cours! 


Shauna Néro est la coordonnatrice du Réseau provincial des éducateur·rice·s des programmes en français de la Colombie-Britannique au Bureau des affaires francophones et francophiles de l'Université Simon Fraser. Elle est également la coordonnatrice du programme de français pour le Conseil scolaire de Mission. Elle a enseigné le français langue, les sciences humaines et le français de base au niveau secondaire et a été directrice adjointe d'une école primaire d'immersion à double voie. Actuellement étudiante de maîtrise en éducation à SFU, Shauna continue à nourrir sa passion pour l’apprentissage. Elle crée des expériences d'apprentissage authentiques et actionnelles afin de développer les compétences essentielles, interculturelles et linguistiques des élèves dans les programmes de français langue seconde.

12 h 05  - 12 h 35
(Heure de l'Est)

GROUPES DE DISCUSSIONS - LES MATIÈRES ET LA PÉDAGOGIE SUR LE TERRAIN 

Faites un retour sur vos apprentissages et discutez de façon informelle avec vos collègues à l'échelle nationale en vous joignant à l’une de nos tables de discussions!  

SUJETS DES TABLES :   

Études sociales  | Français littérature  | Français compétences linguistiques | Sciences et mathématiques | Confiance linguistique | Motivation/ engagement  | Rétention  

12 h 30 - 12 h 55
(Heure de l'Est)

PAUSE POUR TOUTES ET TOUS (25 mins)

12 h 55

(Heure de l'Est)

SYMPOSIUM PARTIE 2 

Mot de retour
Déroulement de la 2e partie 

13 h à 14 h
(Heure de l'Est)

BLOC D’ATELIER NO. 2 | LA RÉTENTION ET AU-DELÀ 


MOTS CLÉS : 
confiance pour poursuivre en immersion, soutenir les élèves pour qu’ils s’orientent vers une carrière bilingue ou francophone,  exposer les avantages  aux élèves de poursuivre l’immersion jusqu’à la 12e année,  la transition une fois  la 12e année en immersion complétée. 

Marc Gobeil
Ontario 

L’immersion française à l’université : mettre sa langue, sa confiance et son identité au défi 

Cet atelier présentera des constats accumulés à travers 15 années d’observation, ainsi que des résultats d’analyses et de recherches pour aider les professionnels de l’immersion à comprendre ce que vivent leurs étudiants pendant les études en français au postsecondaire.  
 
Pour un grand nombre d’étudiants, le développement de leurs compétences en français à un niveau universitaire ou professionnel représente un objectif important pour leur réussite scolaire et pour l’élargissement de leurs perspectives d’emploi et de carrière. Depuis 2006, près de 10 000 étudiants se sont inscrits au Régime en français de l’Université d’Ottawa. Cela témoigne de l’engouement pour une formation postsecondaire bilingue, mais ces étudiantes et étudiants peuvent vivre l’expérience de façons bien différentes. Les études universitaires posent déjà plusieurs défis, mais de les faire entièrement ou partiellement en français apporte un autre niveau de complexité. Si certains sont friands du contact avec le français dans un contexte authentique, cette immersion provoque chez d’autres des sentiments aigus d’insécurité linguistique et de remise en question de leur choix. Le choc des premières semaines de cette expérience, qui peuvent créer un malaise, cède la place à une éventuelle prise de conscience où s’entremêlent confiance, motivation et engagement. Ceux et celles qui persévèrent développent évidemment leurs compétences langagières et leurs perspectives professionnelles, mais cette expérience leur permet d’enrichir d’autres dimensions comme la fierté, la collaboration, et une meilleure compréhension de soi et du monde qui les entoure. Enfin, ces apprenants incarnent le succès des programmes de langue du primaire et du secondaire sur les plans pédagogiques et sociétaux. 

Marc Gobeil est le directeur du Régime d’immersion en français de l’Université d’Ottawa depuis 15 ans. D’origine franco-manitobaine, Marc Gobeil baigne dans nos langues officielles depuis l’enfance. Ses études universitaires lui ont permis d’étudier les phénomènes d’adoption et d’assimilation linguistiques et culturelles. Au fil de sa carrière auprès des Célébrations du patrimoine de La Fondation CRB, Téléfilm Canada, le bureau du gouverneur général du Canada et l’Université d’Ottawa, il a constamment fait la promotion d’une identité canadienne bilingue.



Alex Skene
Ontario

Comment susciter l’intérêt des jeunes à poursuivre leur parcours académique ou professionnel en français? 

Les parents, les enseignant.e.s, les ami.e.s - quelles sont les raisons pour lesquelles les élèves en immersion française demeurent dans le programme?Pourquoi est-ce que certains décident de le quitter?   
 
Dans l'objectif de croître le chiffre de diplômés bilingues de l'école secondaire, venez dialoguer sur l'importance de susciter l'intérêt des jeunes à continuer en immersion française jusqu'à la 12e année et/ou de poursuivre des études/des carrières où le français sera un atout.  Quel est notre rôle en tant que professionnel en immersion à promouvoir une atmosphère inclusive au sein de l'école en ce qui concerne la participation et parcours des élèves?   Comment pouvons-nous encourager nos élèves à développer leur identité d'un diplômé de l'immersion française?   
 
Engagez-vous dans la discussion sur cet enjeu! 



Alex Skene est chef de secteur (Français Langue Seconde et Études canadiennes et mondiales) dans une école secondaire à Burlington en Ontario. Il siège en tant que membre du conseil d'administration (Ontario) de l'ACPI depuis 2019 et était le président du Congrès de l'ACPI à Ottawa en novembre 2022 (Nos voix communes vers l'avenir). Ayant l'expérience de conseiller en orientation, de formateur des examinateurs/correcteurs du DELF, de conseiller pédagogique et d'agent d'éducation au Ministère de l'Éducation de l'Ontario (Unité de la mise en œuvre des politiques de français langue seconde), il vise les façons de développer la confiance chez ses élèves en immersion française en leurs compétences acquises et leur volonté de poursuivre dans les programmes d'IF jusqu'à la fin de leurs études au secondaire.


Adam Smit
Ontario

Comment créer et mettre en vigueur une vision en immersion? 

En 2014, notre école a eu 57 gradués avec des diplômes d’Immersion. En 2019, on a eu 238 élèves en 9e année dans le programme. On est maintenant la moitié de l’école, voire plus de 700 élèves en immersion française. Qu’est-ce qui s’est passé pour engendrer le quadruplage d’élèves en si peu de temps? Et comment bâtissons- et gérons-nous un programme qui fléchit si rapidement? 
 
Dans cet atelier, découvrez comment bâtir votre programme d’Immersion, commençant par une vision collective dans le département et des enseignant.e.s inspir.é.s — qui visent améliorer leur pédagogie et leur français. On va explorer le développement du réseau d’appuis nécessaire : administration, éducation spéciale, conseillers, écoles élémentaires, communauté, parents. Ensuite, nos cours répondent aux besoins des élèves : géo, affaires, études familiales, arts plastiques, histoire, civisme/carrières, entrepreneuriat, héritage des civilisations, art oratoire, études autochtones, l’éducation coopérative et le français...tout en français! Établir des normes est aussi important : ce n’est pas en simplifiant le programme qu’on a atteint cette croissance, mais en gardant un seuil respectable et en encourageant plus d’élèves à s’y mettre la main. Les projets authentiques sont inclus à travers notre programme : des entrevues avec des immigrés au Canada en histoire, de jeunes entrepreneurs qui créent et vendent leurs biens aux marchés cibles, des élèves devenus dramaturges pour un théâtre local. Les excursions sont incontournables : des visites à l’école élémentaire du quartier au Parc national de la Pointe-Pelée jusqu’à notre échange réciproque en Suisse, les élèves se font rappelés par de vraies expériences que le français est une langue vivante et un atout pour leurs vies et carrières. Finalement, des visites universitaires font le pont pour les élèves de continuer à étudier en français. 
 
C’est en se mettant ensemble autour d’une vision collective qu’on s’inspire, on s’amuse, et on atteint des hauteurs qu’on n’aurait jamais pensé possibles. Venez voir ce dont vous êtes capables. 


Adam Smit est présentement le chef du département de langues à Kitchener Collegiate Institute. Il a enseigné le français au niveau immersion, intensif et cadre à cinq écoles dans trois conseils scolaires pendant ses 16 ans d’enseignement. Il a déjà enseigné huit étés en France et planifié quatre visites et échanges scolaires en France et en Suisse.

Globe-trotteur dans l’âme, il a aussi voyagé en Océanie, Scandinavie, États-Unis, Belgique, Pays-Bas et Barbade. Avant de devenir enseignant, il a obtenu son baccalauréat en administration d’affaires de Wilfrid Laurier University et a travaillé en anglais et en français pour plusieurs grandes entreprises canadiennes.

Carl Ruest
Colombie-Britannique

Adopter une perspective interculturelle pour retenir nos élèves en immersion

Adopter une perspective interculturelle pour l’enseignement, l’apprentissage et l’usage du français langue seconde contribue à la construction et au développement d’une identité positive tant pour l’élève que pour l’enseignant·e d’immersion.

Traditionnellement, l’enseignement du français a souvent passé par l’enseignement du code linguistique et de sa maitrise. Bien que l’approche communicative tente de mettre l’emphase sur l’aspect communicatif et authentique, l’accent dans l’enseignement demeure souvent sur les formes linguistiques sans toujours tenir compte du contexte culturel immédiat dans lequel on interagit. Un tel enseignement ancré dans l’idéologie du locuteur natif fait en sorte que les élèves parlant le français comme langue seconde (ne pouvant pas, par définition, être locuteur natif) sont voué·es à l’échec. À l’enseignement de la langue se greffe souvent une étude superficielle de la culture qui passe par la connaissance de faits culturels ou de représentations réductrices et stéréotypées. Une telle notion essentialiste de la culture (i.e., faits, fêtes, festivals, folklore) positionne les élèves dans un rôle d'observateur passif ou d’étranger. Ni une approche basée exclusivement sur la langue ni une approche basée sur une notion simplifiée de la culture ne permettent de développer une identité positive pour les élèves d’immersion et de les motiver à poursuivre le programme.

En s’appuyant sur la notion de l’interculturel, on met au cœur l’identité de l’enseignant·e d’immersion et de ses élèves, leurs expériences, connaissances et perspectives. Une perspective interculturelle implique l’engagement transformationnel de soi à travers des rencontres et expériences variées avec l’autre. Les frontières entre soi et l’autre sont explorées, problématisées et redéfinies (Liddicoat & Scarino, 2013). Le présent atelier mettra en lumière les principes pédagogiques sur lesquels s’appuie l’orientation interculturelle et présentera des actions simples que le personnel enseignant peut mettre en place pour adopter une telle approche.



Carl Ruest est éducateur et coordonnateur des parcours français au BEd à l’école d’éducation de l’Okanagan de l’Université de la Colombie-Britannique. Il enseigne également dans le programme de M.Ed. en éducation française de cette université. Avant, il a enseigné pendant plus d’une décennie dans les programmes d’immersion à Richmond, C.-B. Il détient un doctorat dont la recherche portait sur les échanges étudiants et l’interculturalité.

14 h à 14 h 30
(Heure de l'Est)

GROUPES DE DISCUSSION 

Faites un retour sur vos apprentissages et discuter de façon informelle avec vos collègues à l'échelle nationale en vous joignant à l’une de nos tables de discussions au sujet de la rétention au secondaire et au-delà!  

14 h 35

(Heure de l'Est) 

Tirages 

Soyez des nôtres pour les tirages de prix de présence avant la fin du Symposium!

14 h 45
(Heure de l'Est)

Mot de clôture et fin du Symposium